Marilyn Monroe pour toujours
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MARILYN MONROE
ASSASSINÉE ?
ASSASSINAT ? .........

Marilyn Monroe pour toujours

ENFIN LA VÉRITÉ SUR UN CRIME D'ÉTAT

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Vous trouverez ici une nouvelle piste proposée, la possibilité d'un suicide suivi d'un lavage gastrique, et d'un "nettoyage" des lieux pour des raisons politiques évidentes. Cette piste n'exclut pas les autres bien entendu. Mais cette hypothèse d'une lavage gastrique qui n'est mentionnée nulle part à ma connaissance simplifie la question.

L'autopsie, les bruits et les faits

Rien n'est simple tout se complique ... "Le sigmoïde de Marilyn présentait une rougeur étonnante" mais il n'en aurait pas été tiré de conclusion. Idem pour la "meurtrissure du rectum". Mais en fait le rapport que nous avons eu entre nos petites mains électroniques ne dit pas cela.

Réflexions sur le rapport d'autopsie

A noter qu'il est beaucoup plus concis que les nombreuses "interprétations" qui en ont été faites. En particulier pour "l'affaire du sigmoïde" qui aurait pu conforter la piste de la "voie rectale". Il n'est pas mentionné de rougeur du sigmoïde mais d'une congestion marquée du colon sans précision et de ce fait sans doute diffuse. De plus la congestion est de localisation gastrique également. Or selon notre recherche, la congestion viscérale généralisée est un signe habituel classique de l'intoxication aux barbituriques même par ingestion orale (Simonin) Idem pour le piqueté des muqueuses gastro-intestinales. A noter toutefois que le mot sigmoïde et la description sont le fait d'un haut gradé qui a assisté à l'autopsie et qui s'exprime ainsi à la télévision.

Le contenu gastrique est trop pauvre

Comme cela a été souvent signalé. Pas de repas dans les heures qui précèdent et pas de cachets ou résidus. C'est le fait le plus troublant. Les flacons vides autour de Marilyn dans sa chambre fermée de l'intérieur, l'énorme quantité de barbiturique dans le sang sont en contradiction avec cet estomac vide. Sans compter malgré l'absence troublante de boissons permettant d'avaler ce stock de comprimés. Le liquide qui a été mis de côté pour analyse au cas ou, n'a semble-t-il jamais été analysé. Ce liquide et la "bidoche" n'a jamais été retrouvé malgré les demandes pressantes du coroner (médecin légiste) lui même.

L'estomac a-t-il été vidé ou l'estomac a-t-il toujours été vide ?

(hypothèse meurtre par injection) ? Les médecins appelés à son chevet disent ne rien avoir entrepris. Il y a pourtant un fort soupçon que la morte ne l'était pas complètement à l'arrivée des médecins. Il est classique dans une intoxication aiguë par barbiturique de faire au plus vite un lavage d'estomac. "Si l'ingestion remonte à moins de 6 heures, le lavage gastrique suivi d'ingestion de charbon activé (Norit) permet d'éliminer une certaine quantité de drogue".

Et le lavement aux barbituriques ?

Cette hypothèse est produite par défaut par certains tenants d'un meurtre. Sur la base des constatations bien peu spécifiques des anomalies du colon de Marilyn. Mais il n'y a pas de traces dans la littérature de telles voies d'empoisonnement. Les comprimés se dissolvent dans une telle préparation au point de ne pas laisser de traces ? Les membres de la famille de Sam Giancana l'ancien, parlent eux d'un suppositoire. Très improbable.

Marilyn souffrait de constipation

Elle prenait régulièrement des lavements pour son problème, y compris les jours qui ont précédé le drame. Alors cette congestion et ces décolorations sont elles dues aux processus naturels combinés aux répercussions connues de l'asphyxie par barbituriques ? Il y a-t-il chez Marilyn un début de sigmoïdite dans le cadre de sa constipation chronique. On reste sur sa faim.

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Effets des barbituriques et constatations médico-légales chez Marilyn

Selon Simonin, les constatations nécrosiques sont celles de l'asphyxie : poumons lourds, volumineux, rouge sombre, parenchyme envahi par le spume et l'œdème avec foyers hémorragiques, placards d'emphysème aigu à la surface, parfois taches de Tardieu; liquide spumeux et sanguinolent dans la trachée, les bronches ; congestion des méninges et du cerveau ; œdème cérébral ; piqueté hémorragique des muqueuses gastro-intestinales, congestion viscérale généralisée. Chez Marilyn on retrouve pas mal de ces signes congestifs et pétéchies. Dans des circonstances aiguës, on s'attendrait à au moins un peu de cyanose de la face. Mais la bonne dit qu'elle avait une couleur horrible.

Marilyn, une morte voyage et le boucher du show-biz !

Le déplacement post mortem. Mise en scène très probablement de cette Marilyn agrippée à son téléphone mais avec une rigidité cadavérique qui fait douter de l'heure officielle et des lividités supplémentaires qui montreraient qu'elle a été bougée. Certains prétendent même qu'elle aurait été emmené en ambulance vers l'hôpital puis remise morte dans son lit de sa maison californienne, le téléphone placé théâtralement dans sa main. Un des ambulanciers aurait même déclaré que Robert Kennedy était dans l'ambulance ! Lorsqu'on a voulu commencer l'autopsie, le "coroner" a constaté que le corps n'était pas à la morgue, mais aux pompes funèbres qui étaient sur le point de l'embaumer avant autopsie légale !

L'autopsie de Marilyn a été faite par le Dr. Thomas Noguchi

Il l'a trouvée en bonne santé, 117 livres (53 kilos !), mesurant 65,5 pouces. Il y avait des traces d'aiguilles sur son corps, mais elle a souvent reçu des injections du Dr. Greenson, son psychiatre, qui l'a piqué jusqu'au dernier jour. Sa mort a été officiellement cataloguée comme un "empoisonnement aigu aux barbituriques". Elle a été tuée par une combinaison d'hydrate de chloral, un sédatif liquide mieux connu sous le nom de "gouttes coup de grâce" et du Nembutal, un barbiturique utilisé très largement comme somnifère dans les années 60, également appelé "vestes jaunes".

Pas bon d'aller sur le Styx l'estomac vide

La chose la plus curieuse dans cette affaire est qu'il n'y avait aucun résidu de drogue dans son estomac, seulement un peu du liquide brun qui n'a jamais été analysé. Rien non plus en poussant plus loin dans le duodénum. Elle est censée avoir avalé des poignées de pilules, mais il n'y avait aucune bouteille d'eau près de son lit dans sa chambre fermée de l'intérieur, ni source d'eau, aucun signe de vomissement ou de convulsion qui viennent lors de la mort par surdosage de barbituriques, et rien dans son grand intestin. Les "vestes jaunes" s'appellent ainsi parce que les surdosages étaient si communs que l'on savait qu'ils laissaient un enduit jaune le long des intestins, ce qui facilitait l'identification de la drogue. On n'a rien trouvé de la sorte. Des organes et des prélèvements pour analyse, qui auraient sans doute pu donner plus d'information, ont disparu.

Question de doses

Une étude récente de l'ensemble des banques de données sur les intoxications aux barbituriques tendrait à démontrer une très sérieuse impossibilité dans la thèse de l'ingestion par voie orale ou rectale. La dose retrouvée dans le sang était monstrueuse de quoi tuer 8 à 10 personnes selon certaines sources et environ 10 fois la dose à laquelle on retrouve déjà quelques cadavres d'après ce qu'on a vu dans le Simonin. Cette quantité colossale ne peut provenir d'une ingestion ou prise par voie rectale (y compris le lavement ?). Elle serait morte déjà avec 35% des barbituriques et les 65% restant seraient restés sur place dans le tube digestif toutes fonctions vitales étant neutralisées. Matériellement impossible de ne rien retrouver. (lavage gastrique ? Voie intraveineuse ?). Par ailleurs le calcul informatique montre qu'il aurait fallu de 52 à 89 comprimés pour mourir en avalant les médicaments.

Les barbituriques, les leçons de l'euthanasie

Comme la mort ne survient pas parfois avant 2 à 5 jours une combinaison avec d'autres produits est préférable. C'est la voie intraveineuse la meilleure. La voie rectale est déconseillée, parce les suppositoires agissent aussi comme laxatifs et sont rejetés pour certaines personnes qui n'arrivent pas à les retenir, les substances actives ne pénètrent que lentement, le résultat est imprévisible et il faut plusieurs suppositoires pour obtenir la dose.

CONCLUSION

Si on se borne aux principaux faits officiels, en particulier cette mort dans cette chambre fermée de l'intérieur, l'overdose et le suicide restent dans le domaine du possible. Mais il reste de sérieuses anomalies, comme l'absence de liquide pour avaler les comprimés, l'estomac vide. L'affaire se simplifie un peu si Marilyn a été retrouvée comateuse dans un premier temps et que l'on a essayé de la réanimer. La première mesure étant le lavage gastrique. Cela donne une explication pour l'estomac vide. C'est pourquoi nous proposons de réfléchir à cette nouvelle hypothèse. Les cafouillages, l'agitation et les maquillages après coup seraient de simples mesure de sauvegarde des Kennedy qui veulent effacer les traces compromettantes de leur idylle et le carnet rose. Mais on peut être résolument favorable à la thèse du complot, et considérer que les doses de barbituriques et de Chloral retrouvée dans le sang de Marilyn n'auraient jamais été atteintes par la voie orale ou rectale. Marilyn devait être réduite au silence, Marilyn devait mourir ! Marilyn "suicidée" ou poussée au suicide par ses "amis", quelle différence ? Une morale de cette histoire ... finalement les personnages qui auraient pu être des commanditaires sont morts assassinés : Les 2 frères Kennedy mais aussi Giancana.

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